Tous les matins, vous vous regardez dans le miroir.
Et tous les matins, vous détestez ce que vous voyez.
Des régimes ?
Vous en avez suivi, bien sûr.
Vous avez écouté tous les conseils de ceux qui ne savent pas ce que c’est que de souffrir en silence, enfermé dans un corps qu’on ne peut plus supporter.
Vous les avez entendus vous dire : "Maigrir ? C’est facile. Il suffit de manger sainement et de faire de l’exercice physique."
Comme si c’était aussi simple.
Oh bien sûr, vous avez essayé.
Au prix d’énormes sacrifices, vous avez perdu quelques kilos.
Et puis, vous avez craqué. A nouveau.
Parce que c’est plus fort que vous.
Et parce que franchement ce gâteau dans la vitrine, qui pourrait y résister ?
Vous l’avez acheté et vous l’avez mangé en cachette.
Vous avez culpabilisé pendant deux jours en vous disant :
"Je n’ai vraiment aucune volonté. Pourquoi suis-je si faible ? Pourquoi ai-je mangé ce satané gâteau ? Promis, c’est la dernière fois."
Mais vous avez recommencé la semaine d’après.
Petit à petit, la culpabilité est peut-être devenue moins forte.
Ou du moins, vous vous êtes dit que vous pouviez vivre avec.
Mais le stress vous envahit lorsque vous remontez sur la balance.
Parce que vous avez repris tous ces kilos que vous avez eus tant de mal à perdre.
Ce régime et toutes ces frustrations n’ont finalement servi à rien.
Régime, frustration, stress, culpabilité : voilà le cercle vicieux infernal de la (re)prise de poids.
C’est bien pour ça que 80 % des régimes échouent.
Vous savez quoi ? C’est normal.
Ce n’est pas de votre faute.
Comme tout le monde, vous êtes programmé depuis votre enfance.
Votre passé a conditionné votre rapport à la nourriture.
Votre subconscient a intégré tout ce qu’on vous a dit pendant votre enfance.
Lorsque vos parents vous ont dit :
"Si tu es sage, tu auras un bonbon". Votre subconscient a associé le sucre à une récompense.
"Si tu n’es pas sage, tu n’auras pas de dessert". Votre subconscient a associé la privation de nourriture à une punition.
"Finis ton assiette. Pense à tous ces enfants dans le monde qui n’ont rien à manger." Votre subconscient a associé le fait de ne pas finir votre assiette à la culpabilité.
Bien sûr, vos parents n’y sont pour rien. Ils croyaient bien faire.
Eux aussi ont entendu les mêmes phrases de leurs propres parents.
Nous sommes tous conditionnés dès notre plus jeune âge.
Pour la majorité d’entre nous, la nourriture est associée à un réconfort.
Ça vient de notre éducation et c’est la raison pour laquelle tant de régimes échouent.
Pourtant le surpoids n’est pas une fatalité.
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